Le groupe, qui a conquis la critique en 2007, a bien grandi. Au gré de ses recherches musicales, il a su tirer son épingle du jeu, et choisir une identité bien à lui. Un peu jazz, un peu psychédélique, un peu rock : c’est planant ET secouant. Véritable épopée musicale, l’album embarque d’un univers à l’autre, au sein du même morceau, et c’est pas « Looloo » qui dira le contraire. Méfiez-vous des mélodies qui dorment…
Les températures estivales et le soleil amènent doucement son lot de festivals. A commencer par celui des Moissons Rock ce week-end. Le début d’une longue série ! Deux soirées-concerts réparties sur deux scènes (la nouveauté de cette année !) sous chapiteau à proximité de la salle des fêtes de Juvigny (à 20 minutes de Châlons-en-Champagne). Soucieux de la visibilité à donner à la scène locale, le festival dédie entièrement « Le Chariot » aux groupes régionaux. Aussi les huit Rémois de La Punkaravane habiteront-ils la scène alternative le vendredi soir tandis que le trio 100% rock We are Darling prendra le relais le samedi.
Le jeune groupe de Rock rémois, mais déjà très expérimenté, Nuit, nous accueille chez eux pour nous montrer leur côté sombre.
Hugo, Matt, Alexis et Charles accompagnent les textes ciselés de Léo, délicatement posé de sa voix grave.
2016 débute fort pour l’association Fada qui lance déjà sa première soirée « Carte blanche » ce 9 janvier prochain, toujours au Flambeau à Reims. On y retrouvera le projet SoliDAM, déjà mis en lumière par la dite association en novembre dernier lors de sa troisième « Carte blanche ». SoliDAM, le trio DAM et ses quatre choristes s’illustreront les premiers à l’intérieur de la salle, juste après l’apéro-concert acoustique en présence du groupe de rock indé, Nuit, pour éveiller les papilles des premiers spectateurs.
Les journées étaient encore chaudes et longues lorsque nous avons filmé Grand Morse, cet été, avec cette version totalement revisitée de l’envoûtant « Bored », en acoustique.
Le tout non loin du skatepark, dont nous avons pu profiter des lieux pour faire quelques plans au milieu des casses-cou du jours.
Ibeyi, « jumeaux » en yuroba (langue africaine), ce sont les jumelles franco-cubaines Lisa-Kaindé et Naomi Diaz. On prête à la première l’écriture, le chant et le piano, pendant que la seconde s’adonne aux percussions, adepte du Cajon et des tambours Batà. Ensemble, c’est l’harmonie. Les deux sœurs ont hérité du talent de leur père, le percussionniste cubain Anga Diaz, qu’elles perpétuent au travers de leur musique soul moderne.
Souvent pris pour des frères, les deux guitaristes de Los R-Manos, que cette confusion amuse, se sont déjà produits plusieurs fois dans la cité Rémoise. Deux ans après la formation du duo, leur premier opus est fraîchement mis en boîte.
Radio Elvis c’est une véritable ode au voyage, c’est du rock anglais dans la langue de Molière, c’est la rencontre, de Dominique A et Bashung, puisque certain le compare à ses deux illustres ainés.
Radio Elvis ça ne s’écoute pas, ça se respire, ça se vit. Radio Elvis, ça s’emporte partout avec soit, ça se raconte et ça se partage !
Comme l’avait déjà si bien dit Olvig en le chroniquant ici « …Radio Elvis, c’est un interprète à la sensibilité transpirante par tous les pores de la voix… »
Messieurs, accrochez-vous !
Mesdames, préparez vos petites culottes et/ou bas de rétentions de rechange. La session qui va suivre ne vous laissera pas indemne.
The Weasel and the Wasters, ou ce groupe rémois qui s’est fait remarquer en signant plusieurs titres pour la série à succès « Bref ».
Y a des êtres qui vous montrent le monde de façon plus jolie ou plus colorée ou sous d’autres dimensions ou juste différemment. Juste avec un peu de musique, et des couleurs dans la voix, vous refabrique l’univers l’espace de quelques titres, vous font planer, voyager avec les feuilles volantes de l’automne. Y a des peintres musicaux qui vous font oublier que le quotidien existe. Y a des gens comme le parisianno-troyen, Skyscraper et son troisième album, D’Autres Chemins.
En pleine tournée estivale, et juste après leur passage remarqué à Rock en Seine, c’est à Charleville Mézières, lors de l’éco-festival Le Cabaret Vert, que nous avons eu le plaisir de croiser la route du groupe d’électro swing, Caravan Palace.
Inséparable de Jojo, son fidèle poisson rouge, le chanteur sparnaco-parisien, Julien Zabel, nous a fait l’honneur de nous accorder du temps afin que nous puissions faire mumuse avec nos caméras.
La rencontre, organisée par Radio Jeune Reims, se fait dans les locaux de la radio, où est enregistré l’interview, ainsi qu’un live, diffusé sur RJR.